L’ensemble des textes et interventions publiques d’Alvar Aalto constitue une rareté dans la mesure où l’architecte s’est toujours déclaré plus enclin à construire qu’à écrire. La large sélection de textes traduits dans ce recueil, la plupart inédit en français, révèlent les thèmes qui ont parcouru sa carrière : humaniser l’architecture en respectant le destinataire de l’édifice, prendre toujours en compte le paysage naturel ou urbain, rechercher la standardisation en évitant l’uniformisation, répondre à la (...)
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Anthologie
Articles
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La table blanche
et autres textes
1er septembre 2012 -
La France du jazz
1er mars 2002Dans le jazz, c’est-à-dire à la fois dans les musiques que ce vocable recouvre, dans les usages qui sont faits du terme et dans les projections dont il est le prétexte, se combinent la modernité technique et la spontanéité primitive, l’individualisme et la communauté, la décence pompeuse (Whiteman) et la sensualité débridée (Joséphine Baker), l’Amérique et l’Afrique. Ce livre n’est pas qu’une nouvelle histoire des débuts du jazz en France. Il se penche sur les manières de s’approprier sa puissance (...)
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Architecture Dispositif
1er novembre 2012De la critique théorique à l’analyse des tendances, de la théorie des objets à la scénographie ou à l’aménagement du territoire, l’architecture est toujours un projet. Elle interroge par le projet, invente formes et concepts ; participe davantage à la transformation des sujets, des manières d’être et de percevoir qu’elle ne construit des bâtiments. L’objet qu’elle partage avec tous les producteurs de sens ou de forme est « l’invention de nous-mêmes ». Le « dispositif architecture » décrit la transmutation (...)
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Imaginer l’évidence
1er mai 2012Ce livre constitue un plaidoyer, par l’un des architectes majeurs de notre époque, destiné à éduquer le regard pour apprendre à observer notre environnement sans focalisation excessive sur ce qui peut apparaître « nouveau ». Pour Álvaro Siza, imaginer ne consiste pas à « inventer » des éléments extraordinaires mais principalement à s’imprégner et à organiser différemment ce que le passé, les lieux ou les autres cultures nous livrent d’idées, de processus, de formes… L’architecte doit pouvoir être qualifié (...)
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Fonctions sociales du blues
1er janvier 1999La fréquentation de la musique de blues passe le plus souvent par plusieurs niveaux de perception. Dans une apparence première, due sans doute à une assimilation trop rapide du blues aux negro spirituals et aux chants des esclaves, on s’attend à y trouver des exemples plus ou moins évidents de contestation, voire des incitations à la révolte. Au-delà de cette connaissance superficielle, le Noir que l’on rencontre dans le blues semble se résigner et prendre presque goût à son sort et le genre ne semble (...)
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Identités à la dérive
1er janvier 2012Que s’est-il passé, qu’est-il arrivé à notre monde, à notre perception du monde, pour que nous ayons pour la plupart oublié voire dénigré nos secondes patries ? Il n’y a pas si longtemps : ce qui nous tenait lieu d’identité se revendiquait d’un vigoureux universalisme. Identités à la dérive, cycle de conférences, aborde les aspects historiques et sociologiques de cette notion (notamment autour de la question de l’intégration, devenue critique en France et en Europe, tant aux niveaux politique, social (...)
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Crises ?
1er septembre 2013« Crises ? » : ce titre en forme d’interrogation est révélateur de combien le terme de « crise » — ici volontairement pluriel — fait justement question. Constamment invoqué, appliqué aussi bien à l’État, l’économie, l’urbain ou à l’humain en tant qu’espèce, il a vu son sens s’égarer dans un lacis d’impré-cisions et d’approximations. Pris à bras le corps par les invités du 10e cycle de conférences de l’association Échange et diffusion des savoirs, le concept de crise est ici passé au crible de la pensée philosophique (...)
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Nos terres d’enfance
1er août 2010Le parcours des « terres d’enfance » proposé dans ce livre, de la banlieue new-yorkaise à Téhéran, de Bagdad à Bakou, de Erevan à Istanbul, de Beyrouth à Trébizonde, de Paris à Mouch, gomme volontairement l’espace et le temps. Tous les acteurs de ces voyages involontaires, sous une forme ou une autre, ont écrit sur les paysages ruraux ou urbains de leur enfance, retrouvant dans des quotidiens contrastés la marque de leur appartenance multiple : une identité revisitée dont chaque signe est vécu dans le (...)
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Avis de recherche
1er août 2006La nouvelle vague de poètes d’Arménie et de sa diaspora est présentée ici pour la première fois en version bilingue, révélant une poésie qui marque une véritable rupture avec celle des périodes précédentes tout en perpétuant une riche et longue tradition. Les poèmes retenus pour cette anthologie sont représentatifs d’une littérature en pleine mutation, après les épreuves de la dispersion et de l’épisode soviétique. C’est pourquoi l’on retrouvera ici les textes d’auteurs nés après la Seconde Guerre mondiale et (...)
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L’impossibilité du vide
18 mai 2016, par VaroujanCette anthologie propose une promenade dans la ville à travers la littérature. Celle-ci, en donnant consistance à l’espace qu’elle nomme, décrit, évoque, invoque, nous en offre une précieuse intelligence sensible. Ce n’est pas un panorama, mais une sélection personnelle, donc subjective. Depuis le début des années 1980, au gré de ses lectures Jean-Charles Depaule a recueilli ces textes qui, de James Agee à Émile Zola, en passant par Marguerite Duras, Jean Echenoz, William Faulkner, Barbara Pym, Francis (...)
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